La mer,
qu'on voit danser le long des golfes clairs.
A des reflets d'argent,
la mer
qu'on voit danser le long des golfes clairs.
A des reflets d'argent,
la mer
des reflets changeants, sous la pluie
La mer,
au ciel d'été, confond
ses blancs moutons
avec les anges, si purs.
La mer, bergère d'azur infinie
Voyez,
près des étangs,
ces grands roseaux mouillés.
Voyez,
ces oiseaux blancs
et ces maisons rouillées
La mer,
Les a bercés le long des golfes clairs
et d'une chanson d'amour.
La mer,
au ciel d'été, confond
ses blancs moutons
avec les anges, si purs.
La mer, bergère d'azur infinie
Voyez,
près des étangs,
ces grands roseaux mouillés.
Voyez,
ces oiseaux blancs
et ces maisons rouillées
La mer,
Les a bercés le long des golfes clairs
et d'une chanson d'amour.
La mer,
a bercé mon cœur pour la vie.
(Charles Trénet)
Que alegría me he llevado al comprobar que el título de tu post correspondía al tema de Charles Trenet. Me encanta. Una vez más has acertado con mi gusto musical. Gracias
ResponderEliminarSí, es Trénet. Me aconsejó un profe de la Sorbona que lo escuchase para mejorar mi pronunciación, y me aficioné a él. (A Trénet, no al profesor...)
ResponderEliminarJuassss que buena tu puntualización. Para mí el francés es el mejor idioma para cantar canciones, sobre todo si son románticas o testimoniales. Por eso me gusta toda la musica francesa.
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